La jeunesse issue des migrations : sans visage, sans voix !
Vous aussi vous êtes certainement secoués par la mort tragique de Nahel tué par un policier le 27juin. Et probablement submergés par les contenus sur les réseaux sociaux et les chaînes d'info.
Dans le prologue de « L’Iran ; déçu mais debout » je raconte mon parcours en tant que journaliste et exilé politique en France, et explique mes motivations pour la rédaction de cet ouvrage.
Avez-vous aperçu cette citation de Bernard Arnault sur Instagram de Forbes pendant vos vacances ? Une partie de mon vécu est d’accord avec l’idée mentionnée là-dedans.
"Est-ce que Benoit Hamon bosse vraiment ?" Je vais répondre franchement à cette question dans ma newsletter. Mais permettez-moi d'abord de vous parler d'un autre sujet qui me tient à cœur.
Depuis mon exil en France en 2009, je n’ai eu cesse de vouloir offrir un autre regard sur l’Iran, toujours basé sur les mêmes sources : les journalistes, les chercheurs et les activistes actifs sur le terrain en Iran. J’ai beaucoup d’admirations pour ces héros et héroïnes inconnus, pour leur engagement et pour leurs travaux journalistiques dont mes articles et mes analyses se nourrissent.